ACSANTIS réalise un benchmark sur les différents modèles de Centres de soins non programmés, avec ou sans plateau technique

La fréquentation en progression constante des services d’urgence est un constat partagé par tous. Or la « petite » traumatologie représente entre 30 et 45% des admissions dans ces services. Aussi, la médecine de ville et/ou des établissements sanitaires s’organisent pour proposer de nouveaux modes d’accès en journée à des soins non programmés et une prise en charge des petites urgences.

Dans ce contexte, une étude est menée par Acsantis et pour le compte de l’ARS Île-de-France afin de comprendre l’organisation, les besoins et les modes de financement des centres de soins non programmés existants. Par centres de soins non programmés, s’entendent des structures en capacité de prendre en charge des consultations et actes de médecine générale, sans rendez-vous et/ou associés à des actes techniques (ex. : traitements antalgiques aigus, pansements, « petite » traumatologie, sutures, immobilisations, infectiologie, associés éventuellement avec un bilan de type électrocardiogramme, radiographie, biologique…).

Cette réflexion passe par la visite de structures de ce type, tout au long du mois de novembre.